« My Last Landlady » by Neil Gaiman
Une amie m’a fait découvrir complètement par hasard l’album « An evening with Neil Gaiman and Amanda Palmer« . Moi qui connaissais et appréciais beaucoup ce que produisaient ces deux personnes, je dois dire que ça m’était complètement passé au dessus de la tête.
Pendant environ trois heures, on peut suivre la captation audio (pas d’image à mon grand désarroi) live de ce spectacle dans lequel Neil et Amanda partagent des histoires, des poèmes, des chansons (vous avez déjà entendu Neil Gaiman chanter des chansons complètement glauques? Moi non. j’adore.), des anecdotes … Un bonheur.
Et le spectacle s’ouvre avec l’une de ses nouvelles, que je ne connaissais pas encore : « My Last landlady« . Elle est restée collée dans ma tête, probablement parce que j’ai un gros faible pour les histoires que l’on ne comprend qu’à la fin. J’ai donc décidé de l’illustrer, et de vous la partager.
Oui je l’ai envoyé au principal intéressé, non il n’a pas répondu dans les détails (en même temps je n’ose pas imaginer la quantité astronomique de choses qui dorment dans sa boîte mail) donc je n’ai aucune idée de s’il l’a lue ou non.
En attendant, bonne lecture à vous 🙂
Ps : J’ai illustré à partir du texte anglais et je n’ai donc pas fait la traduction.
PDF à télécharger ici
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A friend of mine introduced me by chance to the album « An evening with Neil Gaiman and Amanda Palmer« . I knew the two of them and greatly appreciate everything they do, but for some reason this one went under my radar.
For three hours straight, you can follow the show wherever it takes you (only through audio though, no images available), from short stories to poems, from songs (have you ever heard Neil Gaiman tell creepy cringy stories ? I did not until then, and I love it) to anecdotes. A delight.
The show opens with one of his short stories I didn’t know yet : « My Last landlady« . It stuck with me, probably beacuse I’m very partial to stories you undersand only once you reach their end.
Yes I sent it to him, no I didn’t get a detailed answer or comment (it might have been lost in the Everest-size mound of emails that constitutes his mailbox). Therefore, I have no idea if he read it or not.
But here you go, this is for you 🙂
Enjoy.